Un avenir galÈre ? |
SYNERGY : RELATIONS INTERNATIONALES |
RÉALITÉ DE L’AVENIR EN PRÉPARATION |
Dans les universités, les centres de recherches, les laboratoires, partout dans le monde, en Asie comme en occident des recherches vont bon train pour parvenir à cloner des neurones humains en vue de leur exploitation dans les commandes de systèmes experts, robotiques. Vous imaginez des robots où systèmes experts informatiques de reconnaissance de formes, de mesures, de formules chimiques, des capteurs numériques et sensoriels neuronaux commandés par des ordinateurs optroniques bénéficiant également de l’ingénierie tissulaire neuronale pour faire de l’intelligence artificielle la cousine de l’intelligence humaine dotée de capacités de calculs des millions de fois plus rapides que celle de l’homme ? Vous imaginez des matériels avec la précision du pas-de-vis, du moteur pas-à-pas, la puissance de l’hydraulique, la sensibilité du neurone, des temps de réaction fondés sur des capacités de calculs des millions de fois plus rapides que celles du plus intelligent des hommes, des dispersions d’accès aussi fines que celles des nanotechnologies parfaitement invisibles à l’œil et avec des communications wifi ou bluetooth ? Ce temps n’est plus très loin. Il concerne tout le monde. Particulièrement ceux qui mettent des enfants au monde comme ceux qui en ont en bas âge. Puisque les scientifiques ont estimé les premières retombées dans une dizaine à une quinzaine d’années et probablement dans le même ordre d’années pour la finalisation. C’est dire qu’il n’est guère de profession qui puissent échapper très longtemps à cette concurrence dans les productions de « richesses à partager ». Cela pour vous dire que la civilisation actuelle est appelée à devenir de plus en plus catastrophique. Ne serait-ce qu’avec le très mauvais usage qu’elle fait des progrès technoscientifiques utilisés pour asservir et opposer les hommes au lieu de les libérer. Bien sûr, il faudra peut-être 15 ans, 20 ans peut-être 30 ans, peut-être plus pour que l’effondrement total se produise. Il n’en demeure pas moins que tous les jours la pauvreté basée sur le fonctionnement bancale de cette dite civilisation fait de nouvelles victimes. Pourquoi continuer à faire souffrir des personnes réduites à l‘état de très grande pauvreté ? En rappelant que le SMIC, réputé ne plus offrir des moyens convenables d’existence, représente néanmoins 263 % du RMI pour une personne seule. La question est justement de savoir ce qu’il pourrait bien y avoir comme « richesses à partager » quand la capitalisation réalisera la plus grande part de toutes les productions tant industrielles que de services avec l’ingénierie tissulaire neuronale sur fond d’investissements prenant le pas dans l’évolution de la « CROISSANCE Économique » en immobilisant la création monétaire au point de réduire le multiplicande à la portion congrue. En effet, les « richesses à partager » ça n’existe pas. Puisque les « richesses » sont à vendre et pas à donner. Lorsque le multiplicande de la monnaie tournante qui est le moyen de propagation des échanges : ventes / achats / ventes /.. s’étiole pour profiter à l’investissement productif lui-même utilisé pour évincer la main-d’œuvre et les coûts indirects de toutes sortes, le pouvoir d’achat par le travail s’effrite forcément. Que l’on soit des classes moyennes ou des sous-classes plus le système perdure plus il produit des effets pervers d’effritement des rémunérations du travail au fur et à mesure de l’exploitation des rentabilités financières obtenues avec les progrès technoscientifiques. Un tel effritement appelle de nouveaux gains de productivité. .. On repart dans le cycle immobilisation de la création monétaire pour des investissements de capitalisation productive, effritement du pouvoir d’achat par le travail, nécessité de gains de productivité, etc., etc. Un phénomène qui se reproduit depuis un tiers de siècle et a multiplié le nombre de chômeurs par plus de 10. Une multiplication des chômeurs qui va bien évidemment s’accélérer en proportion des performances financières issues de l’exploitation financière des progrès technoscientifiques.
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